Etapes du Tour de France : les plus difficiles et les plus suivies

Publié le : 29 juillet 20225 mins de lecture

Vous êtes amateurs de course de vélo ? Vous devez alors certainement suivre de très près le Tour de France ! Certains parlent même de la plus grande épreuve du calendrier cycliste international. Durant trois semaines, les coureurs se livrent une lutte quotidienne acharnée afin de franchir la ligne d’arrivée en premier. Quelles sont d’ailleurs les étapes les plus difficiles et les plus suivies par le public ?

Le départ

Le premier jour du Tour reste toujours un moment spécial. Sur le plan sportif, l’épreuve débute généralement par un prologue de quelques kilomètres. L’objectif consiste alors à désigner le premier porteur du maillot jaune. D’ailleurs, la tunique n’est pas présente dans le peloton au départ de la première étape. Le vainqueur de l’an passé, s’il participe de nouveau, porte seulement le numéro 1 sur sa plaque de cadre.

En 2022, le Tour s’est élancé depuis le Danemark. L’accueil du public local fut chaleureux d’autant plus que les coureurs danois (dont Cort-Nielsen) ont animé ces premiers jours de course. Il s’agit du point de départ situé le plus au nord de l’histoire de la compétition ! D’ailleurs, la connaissez-vous bien ? Quelles sont les étapes les plus longues du Tour de France ?

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Le 14 juillet

En ce jour de fête nationale, il revient évidemment aux coureurs français de se mettre en évidence ! Au matin, tous sont motivés pour prendre l’échappée. L’un d’entre eux l’est probablement encore plus. Il s’agit du champion de France. Gagner avec ce maillot, un 14 juillet, est un rêve pour les cyclistes professionnels français. D’ailleurs, certains l’ont déjà fait par le passé. Parmi les vainqueurs français d’une étape du Tour de France un 14 juillet , on retrouve par exemple un certain Laurent Jalabert. Reconnaître le champion national dans le peloton est relativement simple. Ce coureur porte tout simplement un maillot bleu, blanc et rouge !

Les acensions mythiques

Dans l’histoire mondiale du cyclisme, et plus encore sur le Tour, le grand public adore les belles ascensions. Même si vous n’êtes pas un suiveur assidu, vous connaissez forcément ces grands noms de cols. Il suffit d’entendre des mots tels que « Alpe d’Huez », « Mont Ventoux », « Hautacam », « Aspin » ou encore « Tourmalet » pour s’imaginer en juillet et voir des coureurs défier les pentes !

Si vous en avez l’occasion, n’hésitez pas à venir vous mêler au public présent au bord des routes. Attention, l’ascension ne sera pas possible en voiture le jour de l’épreuve. Vous devrez nécessairement monter avec votre vélo de course ou à pied. Il faudra bien sûr un peu de condition physique pour y parvenir ! N’espérez pas non plus redescendre quand bon vous semblera. Vous devrez nécessairement attendre le passage de tous les coureurs pour y être autorisé. Voir passer les coureurs en haut d’un col pour se disputer le maillot jaune, ça se mérite après tout !

Les « contre-la-montre »

Dans ces épreuves, les coureurs s’élancent seuls sur un parcours de quelques dizaines de kilomètres. L’objectif reste évidemment de le terminer en moins de temps possible ! Le grand public ne se passionne pas toujours pour les « contre-la-montre ». Pourtant, cette discipline requiert de nombreuses qualités dont une posture aussi aérodynamique que possible et une fréquence de pédalage élevée. Notez également que les vélos utilisés à cette occasion sont incroyablement futuristes. Ce sont des pièces uniques, assemblées sur mesure pour tous les leaders des équipes. Leur valeur excède bien souvent les 20 000 €.

Pour être totalement complet sur le sujet, il semble important de préciser ici qu’il existe également des « contre-la-montre » disputés en équipe.

L’arrivée

Voir Paris et la ligne d’arrivée reste le but à atteindre pour tous les engagés. Imaginez un peu la délivrance après plus de 3 000 kilomètres d’effort intense. Généralement, les familles et les amis sont présents pour les accueillir. C’est également l’occasion pour les coureurs (sans oublier le staff) de faire la fête et de se relâcher un peu.

Mais avant cela, il reste tout de même une ultime étape à se disputer. Le départ est donné à proximité de Paris. Le parcours mène ensuite le peloton au cœur de la capitale, dont un circuit final (8 tours) sur les Champs-Elysées. Habituellement, les divers classements (général, meilleur grimpeur ou meilleur jeune) ne bougent pas. Les premiers kilomètres sont parcourus à un rythme léger. Ce climat est d’ailleurs propice aux blagues ! Seul le circuit final est véritablement disputé et se solde, le plus souvent, par un sprint massif. Gagner sur les Champs-Elysées reste le Graal pour tout sprinter participant à la Grande Boucle !


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