Les sports extrêmes : du défi et de l’adrénaline

Publié le : 23 septembre 20209 mins de lecture

Certaines personnes pratiquent des sports extrêmes ainsi définis parce qu’elles veulent mettre en jeu leur extraordinaire volonté, en défiant les risques que ces sports comportent. Ils sont souvent partagés pendant la pratique par des groupes de personnes en équipes. La pratique d’un sport ne vous procure plus autant de sensations qu’avant et vous souhaitez vous tourner vers quelque chose de plus extrême ? Connaître les sports extrêmes est un bon moyen de savoir si ces disciplines sont faites pour vous. En vous renseignant sur les sports de l’extrême aériens et les sports motorisés de l’extrême, vous pourrez faire le bon choix et vous engager dans une activité qui vous correspond vraiment.

La pratique des sports extrêmes

La force et le courage, le défi de l’imprévisibilité, la perfection de soi, le défi de la mort sont les valeurs partagées par l’équipe de personnes qui osent relever les différents défis. Ceux qui s’essayent à ce type de sport, font face aux risques après avoir examiné, évalué et étudié les contre-mesures appropriées. Le pratiquant de sports extrêmes est conscient qu’il ressent de la peur, mais il sait qu’il ne peut la surmonter qu’en réduisant la marge de risque réelle. Les situations de la vie quotidienne ne donnent pas à l’individu l’opportunité de cerner son identité : ses qualités, ses défauts, son degré de réactivité. La confrontation à un monde inconnu donne la possibilité de se sonder, de se mettre à l’épreuve, en ne bénéficiant d’aucune aide extérieure. Affronter le danger fournit l’occasion de mieux se connaître, de se définir, d’appréhender ses limites, de savoir jusqu’où ne pas aller trop loin et de finalement trouver la limite entre la vie et la mort, bien souvent très mince.

L’alpinisme

Parmi les sports extrêmes les plus populaires, on trouve l’alpinisme, un sport où les coéquipiers font la différence. L’objectif d’escalader et d’atteindre un sommet est le véritable but de l’équipe, ce n’est pas un défi purement individuel mais un test de groupe. Il faut beaucoup de détermination et une volonté incroyable pour atteindre l’objectif. Qui n’a jamais ressenti cette vague d’adrénaline qui s’insinue dans le corps, cette concentration extrême, cette lucidité d’animal sauvage qui métamorphose les sensations au moment de quitter une position stable vers une prise incertaine ne peut pas vraiment comprendre ce que signifie grimper en tête. Au niveau technique, les compétences pour grimper cramponner et maîtriser manœuvres de cordes et de sécurité s’ajoute un élément qui est loin d’être anodin : votre niveau de forme physique. Ce dernier conditionne deux facteurs importants : la résistance à la fatigue et la rapidité d’exécution des manœuvres. Où l’on retrouve la sécurité. Activité aux multiples facettes , l’alpinisme peut vous conduire aussi bien au sommet du Mont Blanc par une voie normale peu difficile, que dans une face rocheuse difficile et austère, ou dans les Calanques entre Marseille et Cassis, beaucoup moins austères, ou encore en cascade de glace au plus froid du mois de janvier et pourquoi pas sur les cimes de l’Himalaya ou des Andes.

Le rafting

Le même principe s’applique au rafting, c’est-à-dire à la descente d’une rivière sur un radeau particulier appelé radeau qui est constitué d’un équipage de quatre ou huit personnes qui suivent les ordres du contremaître pour surmonter les obstacles et les pièges en cours de route. Un sport passionnant qui fait monter l’adrénaline et qui demande une concentration maximale et, surtout, une excellente préparation physique. Le rafting est une discipline que l’on peut entreprendre dès l’âge de douze ans, à condition bien sûr de savoir nager et d’être bien encadré. L’approche est différente selon le niveau de difficulté de la rivière dans laquelle on pratique. En général, on fait du rafting dès que la température est suffisamment clémente, de la mi-mars à la fin octobre. En fait, plusieurs critères doivent être réunis pour que la discipline soit sans risque car le rafting est très largement soumis aux aléas climatiques : météo, niveau d’eau et accessibilité des sites, celle-ci n’étant parfois possible qu’au moment où la fonte des neiges atteint un débit important, soit d’avril à juin. Sur le plan musculaire, en pratiquant le rafting, on fait travailler la partie supérieure du tronc, les bras et les abdos, les jambes, mais aussi le souffle. Il faut quand même être déjà entraîné et échauffé pour le pratiquer de façon assez intensive sans trop s’épuiser, d’autant que l’on n’arrête pas une minute de pagayer. En cas de chute dans l’eau, il est fortement recommandé de nager les pieds vers le bas du courant afin d’amortir les chocs sur les genoux et les tibias.

Le surf

Un autre sport extrême est le surf. Surfer sur une planche de surf, glisser le long du mur de la vague mais rester debout sur la planche, c’est un moment de défi avec soi-même et l’extrême. Tant de jeunes surfeurs ne manquent pas les vagues et se retrouvent sur les plages les plus célèbres pour ce genre de sport, comme les îles Hawaï. Le surf est un sport qui consiste à glisser sur les vagues, au bord de l’océan, debout sur une planche. Petite épopée d’un sport qui est devenu un art de vivre au fur et à mesure du temps. La chose la plus importante dans le surf est d’être patient, ne pas avoir envie de prendre la première vague, ou la plus grosse pour frimer. En effet, choisissez la vague qui vous correspond, celle qui vous ne fait pas peur, mais sur laquelle vous vous sentirez le mieux, vous aimerez le mieux. Après avoir vu la vague qui lui correspond le mieux, il rame afin d’acquérir une vitesse suffisante pour que la vague puisse l’emporter. À partir de ce moment, lorsqu’il sent la vague l’emporter, le surfeur doit ramer le plus rapidement possible. Une foie sa vitesse maximal atteinte, vous devez vous appuyer sur vos bras pour vous redresser en avant dans la bonne direction. En même temps que vous vous redressez son buste, sa jambe gauche ou droite vient se placer devant et sa jambe droite ou gauche à l’arrière de la planche. À ce moment, le surfeur adopte une posture fléchie sur ses jambes. Une fois debout, les bras servent essentiellement de balance pour maintenir l’équilibre et aider à changer de direction tandis que les jambes jouent un rôle d’amortisseur et d’équilibreur.

Le parachutisme

Parmi les autres sports extrêmes, citons le parachutisme, art de la chute libre qui est certainement spectaculaire, surtout lorsqu’il est pratiqué en groupe. Quiconque veut s’approcher de cette discipline, doit être très compétent en la matière, préparé physiquement et psychologiquement, ainsi que méprisant pour le danger. Le parachutisme est une activité consistant à chuter d’une hauteur allant d’une centaine de mètres à plusieurs milliers en sortant généralement d’un avion pour ensuite retourner sur terre avec l’aide d’un parachute. Si la personne s’élance d’un point fixe pont, falaise, on parle alors plutôt de base jump. Après la sortie, le parachutiste est en chute libre pour une durée plus ou moins longue selon la discipline pratiquée et la hauteur à laquelle il a été largué. Il peut effectuer seul ou avec d’autres personnes des figures avant d’ouvrir son parachute. Une fois sous voile en vol avec le parachute ouvert, il peut à nouveau effectuer seul ou avec d’autres parachutistes des figures avant de rejoindre le sol en pilotant son parachute de manière à se poser au lieu prévu.

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